2011(9) : 250e anniversaire de l’AAF

séance Histoire (compte rendu)

 

ASSOCIATION POUR L’ÉTUDE DE L’HISTOIRE DE L’AGRICULTURE AU XXe SIÈCLE

PROPOSITIONS POUR UN PROGRAMME

 

Buts, moyens et opérations en cours (rappel)

 

Buts : promouvoir le recueil de témoignages (documentation) et la recherche en histoire de l’agriculture ; promouvoir la connaissance de cette histoire dans le public, ce qui pose des questions difficiles (quels contenus ? pour quels publics ? comment s’y prendre ?).

 

Moyens : très limités sur le plan matériels, mais la position institutionnelle de l’Académie représente une force non négligeable pour créer des contacts, mutualiser l’information, organiser des coopérations, etc.

 

Opérations en cours : le bulletin Mémoire et Modernité ; les « guides » départementaux (avec l’appui de la fondation Xavier Bernard).

 

 

Propositions pour un programme annuel (exemples en vrac)

Une journée d’étude sur un thème choisi en A.G. ou après consultation de l’ensemble des adhérents.

 (Pour information, deux opérations sont en cours en dehors de l’AEHA, mais qui l’intéressent directement : un séminaire « Prairies » au Comité d’Histoire de l’INRA et un colloque sur l’ONIC au Comité d’Histoire de l’ONIC. Trois autres thèmes au moins paraissent « mûrs » pour des opérations semblables dans les années qui viennent : l’histoire de la science des sols, celle des produits phytosanitaires et celle du machinisme.)

 

Éventuellement, une ou deux réunions d’information mutuelle entre associations ayant des objets ou des préoccupations proches.

 

Publication (en ligne ?) d’une bibliographie des parutions de l’année ; peut-être aussi d’un répertoire des films et autres documents sous forme numérique, etc.

 

Édition ou réédition d’ouvrages fondamentaux mais méconnus (par ex. la carte des paysages ruraux de Pierre Brunet).

 

Identification d’un ou deux sujets de thèse susceptibles de faire l’objet d’un prix ou d’une aide sous une autre forme (à déterminer)

 

 Et enfin…

 Si nous voulons développer ces activités, il sera bien entendu nécessaire d’avoir un fonctionnement très collectif, ce qui suppose l’adhésion de nouveaux membres venant de tous les milieux concernés, notamment enseignants, journalistes, éditeurs, etc.

 

 

F. Sigaut
Le 29 mars 2011